La nouvelle mangeoire installée depuis quatre ans en fin de parcours a un vif succès auprès des passereaux cette année avec une présence de nombreux passereaux (sans parler des Poules d’eau, Râles d’eau et autres faisans…). Trois opérations de baguage auront lieu chaque mois de novembre à mars dans le cadre du programme Mangeoire du Centre de Recherches sur le  Baguage des Populations des Oiseaux (CRBPO) du Museum de Paris.
Le 18 novembre sous un beau soleil se sont les premiers 18 oiseaux qui ont été bagués ou contrôlés en une matinée dont :

  • 3 Mésanges bleues
  • 5 Mésanges charbonnières
  • 1 Mésange nonnette
  • 5 Pinsons des arbres
  • 1 Rouge-gorge familier
  • 1 Mésange à longue queue.

Deux contrôles ont aussi été effectués une Mésange bleue baguée sur le lieu le 26/11/2021 femelle d’un an et une Mésange charbonnière baguée aussi sur le lieu le 7 janvier 2021 femelle 2 ans  .Tous ces oiseaux fréquentant la mangeoire sont en grande majorité des migrateurs qui se déplacent beaucoup et ne vont pas forcément rester même si la nourriture est disponible.

La surprise est venue d’une femelle adulte de Pic noir qui est passée juste au-dessus des filets pour se poser sur un aulne mort tout proche de la palissade d’observation, mais oiseau des plus farouche elle nous a vite repéré !

N’oubliez pas une fois par semaine de toujours bien désinfecter vos plateaux de mangeoire pour éviter le développement de bactéries, champignons et autres virus.

Tournesol et boules de graisse ou gras, saindoux du boucher (surtout aucun aliment salé!) sont les aliments à privilégier. Garder margarine, pain, rillettes et autre fromages uniquement pour votre propre casse croûte !!!!

Merci à Jean Yann stagiaire avec l’équipe d’aménagement des milieux pour le coup de main en cette matinée et l’entretien de l’espace mangeoire.

La migration des passereaux bat son plein : Étourneaux sansonnets, Alouettes lulu, Pinsons des arbres, Tarins des aulnes, Grives mauvis, Choucas des tours… Les nuées d’oiseaux nous donnent le tournis ! Certains jours, ce sont plusieurs dizaines de milliers de courageux voyageurs qui nous survolent. Leur objectif : regagner les zones d’hivernage favorables, où ils pourront trouver les ressources alimentaires indispensables à leur survie.

Au Parc du Marquenterre, le point de vue qui se situe sur la dune originelle est le lieu idéal pour observer ce phénomène à l’automne. En effet, les oiseaux arrivant du nord ont tendance à “freiner des quatre plumes” lorsqu’ils aperçoivent la baie de Somme : cette vaste étendue est un désert à traverser, qu’il soit de vase ou d’eau selon la marée. Ils préfèrent donc la contourner par les terres parsemées d’arbres et de buissons, plus propices pour se cacher en cas de danger, déjeuner à l’abri dans les argousiers ou tout simplement se poser s’ils sont trop fatigués. 

Afin de profiter au mieux du spectacle, mais surtout d’étudier le plus rigoureusement possible cette odyssée annuelle, il faut se réveiller de bonne heure. En effet, le suivi de migration s’effectue dès le lever du jour. Jumelles, longue-vue, clicker, carnet, stylo et, surtout, thermos de café : voici l’équipement indispensable des “spotteurs”, les observateurs qui se chargent de compter les oiseaux en migration. En fonction des conditions météorologiques – vent, pluviométrie, luminosité… – il est plus ou moins aisé de capter les globe-trotters. Certains matins ils volent très haut ; ou bien plus à l’intérieur des terres ; et parfois, carrément en mer. Néanmoins, grâce à ce suivi les connaissances ornithologiques s’améliorent : état des populations, routes empruntées, risques naturels et anthropiques, calendriers et stratégies migratoires… Et au-delà du savoir scientifique, les oiseaux nous offrent un moment d’évasion à moindre frais !

Si vous souhaitez consulter les résultats de ces comptages et prendre part à cet émerveillement du quotidien, voici deux sites sur lesquels vous trouverez nombre d’informations très instructives :

https://www.migraction.net/

https://www.trektellen.org/

À vos clickers ! 

Texte : Cécile Carbonnier / Illustration : Alexander Hiley

Nous vous avions relaté il y a quelques semaines l’observation sur le Parc d’une Mouette mélanocéphale belge âgée de 19 ans. Ce record de longévité sur le site vient d’être pulvérisé avec la présence d’un oiseau de nouveau belge bagué poussin le 27 juin 1998 sur la colonie des usines Solvay sur le port d’Anvers – rien ne vaut une bonne zone industrielle !

De 1998 à 2013, elle passe tous ses étés et automnes au Portel, près de Boulogne-sur-Mer, généralement à partir de fin juin (au plus tôt) jusqu’à fin octobre (au plus tard). Une seule exception : du 24 au 31 juillet 2002, elle s’accorde un court séjour aux Sables d’Olonne en Vendée. On sait depuis 2008 qu’elle hiverne au Portugal à Vila Nova de Milfontes, près d’Odemira, histoire de profiter du soleil et de la campagne ! 

Elle est observée en période de reproduction sur son lieu de naissance, à Anvers. Pendant trois ans, de 2015 à 2017, elle ne donne pas signe de vie : il est probable que la bague plastique blanche 3S58 visible à la longue-vue se soit perdue par usure. Il y aura un unique dernier contact grâce à la bague métal E910041, du 2 août au 5 août 2019 à Boulogne-sur-Mer.

Hélas, tout ce récit aurait dû être écrit au passé, puisque notre mamie très casanière sur ses lieux de villégiatures a été retrouvée morte de l’influenza aviaire H5N1 le 20 juillet 2021 au Parc, alors qu’elle était sur sa période de dispersion et migration postnuptiale…  

Texte : Philippe Carruette / Illustration : Alexander Hiley

Fin juin débute la période de baguage des jeunes Cigognes blanches. Un programme du Muséum de Paris (Centre de Recherches sur la Biologie des Populations d’Oiseaux) permet de suivre la population en expansion de ce grand échassier dans les Hauts-de-France et en Seine-Maritime. En Picardie, une soixantaine de couples nichent cette année. La quasi-totalité de ces couples est localisée sur notre littoral et en basse vallée de la Somme (35 couples) et de l’Authie (15 couples). Des couples s’installent aussi maintenant de plus en plus dans le Pas-de-Calais, et même dans le Nord (10 couples). Les Hauts-de-France, terre de Cigognes !

Naturellement, dans notre région, les couples de Cigognes blanches installent leur nid au sommet des grands arbres fourchus souvent morts, voire sur les pylônes électriques. Il n’y a pas de tradition de nidification sur les bâtiments. Ces nids, très hauts, sont inaccessibles au baguage. La plupart des poussins de cigognes sont ainsi bagués sur les nids construits sur les plateformes disposées à leur intention… mais aussi pour faciliter le travail des ornithologues bagueurs. Ils sont aisément accessibles avec une échelle ou un engin élévateur. 

À l’arrivée du bagueur, les jeunes font les morts au fond du nid. Leurs yeux sombres révulsés accentuent encore le stratagème face au prédateur potentiel. En effet, l’immobilisme évite bien souvent le risque d’attaque déclenchée par le mouvement. Les poussins sont bagués entre 6 et 7 semaines. Rondouillards (parfois plus de 3,5 kilos !), les plus âgés se mettent parfaitement debout et bougent leurs ailerons encore bien courts et flasques, même si les plumes noires des rémiges ont bien poussé. 

Les jeunes sont descendus du nid pour être bagués au sol en toute sécurité. Ils sont munis obligatoirement d’une bague en métal du Muséum de Paris avec un numéro unique pour chaque oiseau. Le bagueur pose également une grosse bague en plastique verte avec 4 grosses lettres en majuscule. Cette bague, très lisible aux jumelles ou à la longue-vue, permettra un suivi à distance de l’oiseau durant ses déplacements migratoires. 

On sait grâce à ces bagues que tous les jeunes nés dans notre région partent hiverner en Espagne (notamment autour de Madrid), au Portugal (région de Faro) mais aussi en Afrique (Mauritanie, Mali, Niger…). On connaît aussi parfaitement la route empruntée par nos oiseaux qui évitent la Bretagne et trouvent des arrêts favorables en Mayenne ou dans les Deux-Sèvres. Certains rares individus passent aussi par le sud-est (Champagne, Var) regagnant l’Espagne par le Languedoc-Roussillon. 

C’est généralement au bout de deux ans qu’ils rejoignent leur site de nidification, mais de plus en plus de cigognes reviennent dès le printemps suivant. Quelques-unes vont retrouver leur secteur de naissance, mais la majorité part nicher loin de leur lieu d’origine. Ainsi, des jeunes nés au Parc du Marquenterre sont désormais installés en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Vendée, en Loire-Atlantique et même… en Alsace pour un couple ! À l’inverse, sur le même site protégé du Marquenterre nichent des cigognes nées en Belgique, aux Pays-Bas et surtout originaires de Normandie où les effectifs atteignent aujourd’hui plus de 200 couples, notamment dans la Manche, l’Orne et le Calvados !

Les cigogneaux sont pesés et mesurés (bec, ailes, tarses…). Deux plumes sont prélevées pour des analyses génétiques en laboratoire, permettant de connaître le sexe, pour déterminer des orientations migratoires et de fixation entre mâles et femelles.

La Cigogne blanche se porte maintenant tout de même bien dans notre région. Mais n’ayons pas la mémoire courte. En 1979, seulement 11 couples nichaient encore dans toute la France ! Les mauvaises conditions atmosphériques printanières et la chute des nids sur les arbres morts sont des causes naturelles de régulation de l’espèce. Bien des sites lui sont encore potentiellement favorables, notamment dans les grandes vallées intérieures picardes. Michel Jeanson, fondateur du Parc du Marquenterre, qui a voué une grande partie de sa vie à la réintroduction de cette espèce, serait sans nul doute bien heureux de ce résultat.

Texte et illustrations : Philippe Carruette

Une Mouette mélanocéphale âgée de 19 ans 

Le 15 mai 2022 est observée sur les ilôts du poste n°1 la Mouette mélanocéphale porteuse d’une bague blanche 3NEH. Rien d’étonnant au premier abord, puisque de nombreuses mouettes nées en Belgique nichent sur le Parc, ou font une halte “recherche de partenaire” sur le site du Marquenterre, répertorié comme un des meilleurs sites dans le Wedding data book de toutes les Mouettes mélanocéphales d’Europe ! 

Mais la surprise vient de son âge. Elle a été baguée poussin le 15 juin 2003 dans la colonie de Beveren près d’Anvers en Flandres belges. Depuis 2004, elle a pris l’habitude d’hiverner ou de stationner en été dans le Calvados à Omaha Beach, Grandcamp Maisy, Vierville ou Criqueville selon les années. Mais il y a bien des inconnues dans son CV, puisqu’elle ne fut pas revue entre le 7 février 2011 et le 13 juillet 2017 ! Les 8 et 10 avril 2019 et le 15 avril 2021, elle est notée de nouveau en Belgique sur la grande colonie de la zone portuaire d’Anvers. Quand on connaît les déplacements étonnants dont sont capables les Mouettes mélanocéphales dans toute l’Europe – à la recherche du partenaire idéal, du meilleur lieu d’hivernage ou du site de stationnement estival le plus favorable – on imagine le nombre de “kilomètres au compteur” que peut déjà avoir notre mamie mouette particulièrement dynamique !

Texte : Philippe Carruette / Illustration : Alexander Hiley

Une Mouette mélanocéphale polonaise

Les Mouettes mélanocéphales sont nombreuses à être de passage ou à venir nicher sur le Parc du Marquenterre. 

Le 28 mars 2022, les guides ont eu la chance de croiser le chemin d’une mouette qui portait à sa patte une bague rouge avec écrit dessus PTL6. En effet, cet oiseau a été bagué au nid sur la commune de Skoki Duże en Pologne le 14 juin 2020. Elle a été vue 81 jours plus tard sur l’île de Schiermonnikoog aux Pays-Bas, soit à 885 km de son lieu de naissance !

C’est seulement la seconde Mouette mélanocéphale en provenance de ce pays vue sur le Parc. La plupart des mouettes qui fréquentent le Marquenterre sont originaires d’autres colonies françaises (Seine-et-Marne, Noirmoutier, Maison de la Baie de Somme…) mais aussi de Belgique avec leur bague blanche à la patte, du Danemark, des Pays-Bas, d’Angleterre, d’Italie, de l’est de l’Allemagne…

En hiver, les Mouettes mélanocéphales fréquentent les estuaires et les plages. Elles construisent leur nid au printemps sur les marais côtiers et les plans d’eau d’intérieur en colonie.

Malheureusement, cette espèce est menacée par la diminution de ses habitats, le dérangement, le développement du tourisme sur le littoral et l’urbanisation. En hiver et pendant la migration, elle est également touchée par la chasse illégale, la pollution et les mauvaises pratiques de la pêche. 

Texte et illustration : Romane Sauleau

 

2021, comme 2017 et 2019 fut l’objet d’une importante irruption de Mésanges bleues à partir du 9 octobre. On sait que ces oiseaux – que vous pouvez retrouver dans votre jardin ! – viennent parfois de très loin, des pays baltes jusqu’au nord-ouest de la Russie

70 oiseaux ont été bagués en 2021 à la mangeoire du Parc (5 mâles et 8 femelles adultes, 28 mâles et 26 femelles juvéniles).

Deux oiseaux ont été bagués en Belgique lors de leurs déplacements quelques jours avant d’arriver sur le Parc :

  • 16586721 bagué le 10 novembre 2021 à Sint-Andries, quartier de Bruges, contrôlé comme mâle 1 an le 18 décembre 2021 à notre mangeoire ;
  • 17314117 bagué le 23 octobre 2021, contrôlé comme mâle 1 an le 9 novembre 2021 à notre mangeoire.

La surprise fut le contrôle en Flandre belge de deux Mésanges bleues baguées à la mangeoire du Parc :

  • 9615530 baguée femelle 1 an le 28 octobre 2021, contrôlée le 7 novembre 2021 à Hingene près d’Anvers ;
  • 9615545 bagué mâle 1 an le 28 octobre 2021, contrôlé le 1 er novembre 2021 (soit 4 jours plus tard) à Zele Heikant entre Gand et Anvers.

On voit que les oiseaux, malgré la présence de mangeoires avec une disponibilité constante en nourriture, peuvent beaucoup bouger, caractéristique du comportement erratique de ces individus juvéniles, qui remontent parfois vers le nord alors que tout le monde en automne descend vers le sud ! Ah cette jeunesse !

Le nombre de contrôles en Belgique s’explique aussi par une forte densité de bagueurs.

Merci à Cécile Carbonnier, Benjamin Blondel, Romane Sauleau, Léa Coftier qui ont participé à ces sessions de baguage hivernales.

Texte : Philippe Carruette / Illustration : Alexander Hiley

La migration automnale en 2021 fut particulièrement favorable au Pinson du Nord. En octobre et novembre, ce sont de nombreux vols spécifiques qui ont été notés au point du vue, alors qu’habituellement cette espèce est surtout décelée dans les bandes de Pinsons des arbres. Cela a eu pour effet de baguer 27 Pinsons du Nord en novembre et décembre 2021 à la mangeoire (adultes : 5 mâles et 1 femelle ; juvéniles : 10 mâles et 13 femelles). 

La surprise eut lieu le 25 février 2022 avec le contrôle d’un mâle de deux années, bagué le 17 octobre 2021 à Ana Sira en Norvège. Ce petit village (200 habitants) au cœur des fjords est situé au sud de Stavanger, dans l’extrême sud-ouest du pays. Le lieu et la date laissent peut-être penser que cet oiseau était alors en déplacement migratoire depuis les zones forestières les plus nordiques. On sait que les Pinsons du Nord hivernant dans le nord-ouest de la France sont issus de Norvège, où la population est particulièrement en déclin.

Texte : Philippe Carruette / Illustration : Cécile Carbonnier

Un petit groupe de Sternes caugek s’installe de nouveau au poste 1, au milieu de la colonie de Mouettes mélanocéphales. Quel plaisir de retrouver leurs appels caractéristiques qui nous transportent vers le grand large, à des milliers de kilomètres de la baie de Somme ! Certains oiseaux portent des bagues couleur permettant en effet de les suivre en migration.

  • Ce 24 avril, nous avons retrouvé avec bonheur HC7 (bague jaune), baguée poussin le 14 juin 2018 sur la colonie de Haringvliet dans la province de Hollande-Méridionale aux Pays-Bas. Elle avait été observée le 5 juillet 2021 au Parc. Entre-temps, elle avait hiverné sur la côte namibienne à Luderitz, et le 6 novembre 2021 au Cap en Afrique du Sud… soit à 11.000 km de son point de départ, puisque les sternes pêchent durant leur migration en longeant l’ensemble des côtes des continents européen et africain ! 
  • JJ3 (bague blanche), baguée poussin également sur la colonie de Haringvliet le 11 juin 2021, était encore aux Pays-Bas le 27 juillet 2021 et au Parc le 22 avril 2022.
  • NNR (bague jaune), baguée le juin 2016 à Haringvliet, était aux Pays-Bas sur l’île d’Ameland le 6 septembre 2016. Le 17 novembre 2017, elle se trouvait sur les côtes de Gambie au Kartong Bird Observatory. Le 30 juillet 2018, elle est notée aux Pays-Bas et le 26 septembre 2018 à Boulogne-sur-Mer. La côte gambienne est bien son lieu d’hivernage puisqu’elle y est présente du 8 décembre 2018 au 13 février 2019. En 2019, elle sera observée aux Pays-Bas du 11 juin au 13 octobre. Elle hiverne de nouveau en Gambie du 22 novembre 2019 au 29 mars 2020. En 2020 elle est notée aux Pays-Bas du 15 mai au 17 septembre, puis le 11 octobre à Lydd on Sea en Angleterre. En 2021, elle n’est vue qu’aux Pays-Bas du 8 mai au 2 juin sur les dunes de Breskens. Elle est observée au Parc le 25 avril 2022. Je vous laisse calculer le nombre de kilomètres qu’a pu parcourir cet oiseau en 6 ans…
  • H7N (bague blanche), baguée poussin le 18 juin 2018 à Haringvliet, est observée le 13 juillet 2018 au Hâble d’Ault. Le 3 août 2018, elle repart pour l’Angleterre à Dawlish Warren dans le Devon. Le 15 avril 2019 et le 30 novembre 2019, elle est en Namibie à Swakopmund. Du 30 juin 2020 au 14 juillet, elle retrouve les Pays-Bas à Yerseke, tout comme du 28 avril au 19 juin 2021. Elle est observée au Parc le 22 avril 2022.
  • J32 (bague blanche), baguée le 22 mai 2020 à Haringvliet, y est présente jusqu’au 28 juin. Le 18 juillet 2021, elle est observée aux Pays-Bas à Niew-Haamstede, et le 22 avril 2022 au Parc. Quelle chance !

Texte : Philippe Carruette, Laëtitia Bordier / Illustration : Alexander Hiley